Issue d’une lignée de sages-femmes, Dýja est à son tour « mère de la lumière ». Avec elle, on découvre l’œuvre de sa tante Fífa qui, elle-même, a poursuivi l’œuvre de l’arrière-grand-mère : recueillir les récits, pensées et témoignages des sages-femmes qui parcouraient la lande dans le blizzard et la nuit noire. Décidément, l’être humain est l’animal le plus vulnérable de la Terre, le fil ténu qui relie à la vie aussi fragile qu’une aurore boréale.
Ce roman où il est question de vie, de mort et de tempêtes, explore avec grâce les troublantes drôleries de l’inconstance humaine.
« Roman subtil et clairvoyant sur la fragilité et la beauté de la vie. » La Croix
« Une réflexion par petites touches sur la fragilité humaine. » Les Echos
Issue d’une lignée de sages-femmes, Dýja est à son tour « mère de la lumière ». Avec elle, on découvre l’œuvre de sa tante Fífa qui, elle-même, a poursuivi l’œuvre de l’arrière-grand-mère : recueillir les récits, pensées et témoignages des sages-femmes qui parcouraient la lande dans le blizzard et la nuit noire. Décidément, l’être humain est l’animal le plus vulnérable de la Terre, le fil ténu qui relie à la vie aussi fragile qu’une aurore boréale.
Ce roman où il est question de vie, de mort et de tempêtes, explore avec grâce les troublantes drôleries de l’inconstance humaine.
« Roman subtil et clairvoyant sur la fragilité et la beauté de la vie. » La Croix
« Une réflexion par petites touches sur la fragilité humaine. » Les Echos