Une île au large de la Sicile. Une famille meurtrie par la disparition, un soir de carnaval, de la plus jeune des quatre sœurs. La culpabilité du drame est portée par Aïda, son aînée. En exil depuis quinze ans, sans avoir jamais revu ni ses parents ni ses sœurs, Aïda revient sur l’île pour les obsèques du père. Le passé ressurgit, va-t-on enfin comprendre ce qu’il s’est passé ce soir-là ?
Un roman qui ausculte au plus près les relations que nous entretenons les uns avec les autres et les incessants accommodements qu’il nous faut déployer pour vivre nos vies.
« Véronique Ovaldé a la mélancolie chantante et une façon si poignante d’être triste tout en refusant la morosité. Elle écrit des phrases bouleversantes sur la peur qui comprime la cage thoracique jusqu’à l’explosion. » Télérama
Une île au large de la Sicile. Une famille meurtrie par la disparition, un soir de carnaval, de la plus jeune des quatre sœurs. La culpabilité du drame est portée par Aïda, son aînée. En exil depuis quinze ans, sans avoir jamais revu ni ses parents ni ses sœurs, Aïda revient sur l’île pour les obsèques du père. Le passé ressurgit, va-t-on enfin comprendre ce qu’il s’est passé ce soir-là ?
Un roman qui ausculte au plus près les relations que nous entretenons les uns avec les autres et les incessants accommodements qu’il nous faut déployer pour vivre nos vies.
« Véronique Ovaldé a la mélancolie chantante et une façon si poignante d’être triste tout en refusant la morosité. Elle écrit des phrases bouleversantes sur la peur qui comprime la cage thoracique jusqu’à l’explosion. » Télérama