D’un côté, un solitaire, un lettré, un pas-tout-à-fait-pareil, un pas-tout-à-fait-conforme, un homme malade qui a choisi de se retirer dans un lieu de beauté.
D’un autre côté, les habitants d’un paisible village que l’arrivée de ce nouveau, de cet intrus, bouscule et déconcerte.
Très vite surgiront, entre les uns et les autres, l’incompréhension et la méfiance, puis les malentendus et les soupçons mauvais, puis les peurs infondées et les violences que sourdement elles sécrètent. Puisque tout homme est une nuit.
Un roman d’une causticité jubilatoire.
« On est frappé par la vigueur de l’obstination avec laquelle l’auteur (…) poursuit son travail flaubertien sur les idées reçues et, sans relâche, s’ingénie à pasticher le discours banal de la xénophobie, à parodier les langages totalitaires. » Bibliobs
D’un côté, un solitaire, un lettré, un pas-tout-à-fait-pareil, un pas-tout-à-fait-conforme, un homme malade qui a choisi de se retirer dans un lieu de beauté.
D’un autre côté, les habitants d’un paisible village que l’arrivée de ce nouveau, de cet intrus, bouscule et déconcerte.
Très vite surgiront, entre les uns et les autres, l’incompréhension et la méfiance, puis les malentendus et les soupçons mauvais, puis les peurs infondées et les violences que sourdement elles sécrètent. Puisque tout homme est une nuit.
Un roman d’une causticité jubilatoire.
« On est frappé par la vigueur de l’obstination avec laquelle l’auteur (…) poursuit son travail flaubertien sur les idées reçues et, sans relâche, s’ingénie à pasticher le discours banal de la xénophobie, à parodier les langages totalitaires. » Bibliobs